• On s’attache, on s’y attache comme à des bouées ou à des roues de secours, comme l’unique solution pour avancer, pour sauver son esprit, son corps et son intégrité. On s’y attache pour oublier, tel est la définition de l’amour de transition, celui qui nous remettra en selle, nous permettra d’en finir avec un pour passer à la nouveauté.
    Mais mon dieu mais qu’est-ce qui m’a pris de tellement m’abîmer de m’effacer ainsi…
    Oublier la personne que l’on été et tout recommencer à zéro.. Un mythe? On ne peut oublier son passé propre, seulement vivre avec, l’assumer et évoluer avec le temps…
    Il m’ai difficile de parler de mes bouées de sauvetage, je crois que je suis pas véritablement guérie du moins pas encore… Quoi que?!


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  • Son visage éclaira la pénombre de ma nuit, comme une étoile éclaire le ciel de cette tendre nuit d’hiver glacée. J’étais perdue entre mes souvenirs et mes pensées de réussite future, mais la clarté de son visage fini par me raisonner, je m’égarais, et lui me montrait le chemin à suivre. Pourquoi lui, pourquoi moi? Personne ne le sera jamais, mais la route à suivre me paraissait plus que clair à présent. Alors océan contre océan je me perdis dans la douceur bleuté de ses yeux, sans même savoir pourquoi, regard fut comme envoûté, impossible de m’en détacher et pourtant, je sais que ce n’est pas une bonne chose, personne ne devrait avoir une emprise pareille sur ma personne. Car l’inévitable fini toujours par arriver, quand la tentation devient trop forte, le seul moyen d’y résister c’est d’y succomber… Et les conséquences sont parfois bien moins profitable… Mais il reste l’attraction d’un instant…Qui réussi à me sortir de ma tendre noirceur…

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  • Qui , qui ignore encore qu'il y a dans le manteau du ciel, des milliers, des millions d'étoiles qui brillent,depuis le premier jour du monde et qui sont presque éternelles. Un jour là haut sur ma petite étoile à des année lumière, je pourrai suivre mes rêves et vivre à ma manière...Merlin l'enchanteur, les magiciens, me jouerons mille tours et des miracles avec leur mains...Mais quel beau rêve, mais quel beau rêve je pourrai réaliser, mais quel beau rêve mais quel beau rêve sur mon étoile dorée...


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  • Envie de tout envoyé valser, de renoncer à toute responsabilité, et se sentir légers comme l'air. Je voudrai partir loin et me sentir libre d'aller et venir, de m'effacer dans la pénombre. De plonger dans les profondeurs du passé comme celles de l'enfance. Je voudrai partir loin, tout oublier, me recomposer, devenir celle que je souhaite être. Je me sens perdue dans le brouillard de la vie sans la moindre attache. Je voudrai partir loin, que l'on me donne ma chance, je voudrai trouver l'amour et pleurer sur son épaule. Je  pense que je vais partir, recommencer une nouvelle vie, au son des battements de mon coeur et de ma respiration haletante, et m'attribuer un nouveau nom. Je voudrai seulement la liberté comme la fille du château d'eau, je voudrai ressentir cela en partant au loin...

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  • J’ai le vague souvenir d’une chanson qui raconter la souffrance de se faire lâchement abandonner par un personne à laquelle on tient plus que tout, je crois que je n’aurai jamais pu mieux écrire moi-même cette chanson en décrivant cette souffrance! Sais-tu que je pleure, Sait-tu que je meure, sait-tu que je pleure sans toi, tu ne soit pas savoir, non tu ne doit pas savoir. Des abandons tragiques on en a tous vécus, quand le voile noir de la mort emporte se qui nous est le plus cher ou quand le mal être fait prendre la poudre d’escampette à d’autres, ou encore des sentiments trop violents. Si je devais traduire la sensation que l’on a à être abandonner, je dirais que c’est comme un coup de point dans le cœur du au mal être et comme un  balle dans la tête tellement les pensées les plus profondes et les souvenir se chamboule en elle.Alors on pleure, on se sent mourir intérieurement, plus aucune pensée arrive à être exprimer, seuls les souvenirs bons ou mauvais restent, et on pleure, sans savoir si l’autre sait à quel point c’est dur, sans qu’il sache ce qu’on ressent. Sais-tu que je pleure, sais-tu que je meure, sais-tu que je pleure, tu ne doit pas le savoir, non tu ne doit pas le savoir…

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